L’urgence climatique bouleverse nos modes de vie.
Même si nous sommes aujourd’hui plus attentifs à ce que nous consommons, ou encore à la façon dont nous nous déplaçons, nous avons encore tendance à négliger la manière dont nous nous logeons.
Pourtant, nos foyers ont un important impact sur l’environnement. Loin devant les transports, le secteur du bâtiment représentait 44 % de l’énergie consommée en France, selon les chiffres du ministère de la transition écologique.
Depuis 1974, QUALITEL, association fondée par le secrétaire d’état au logement, est en charge de sensibiliser le grand public à la qualité de l’habitat.
Mais alors c'est quoi un "logement durable" ?
Il s’appuie sur les 3 piliers du développement durable, de sa conception et tout au long de son cycle de vie :
-la préservation de l'environnement
-la dimension économique
-l'angle social
Respectueux de l’environnement, un habitat durable, consomme donc peu de ressource énergétiques.
A travers plusieurs dispositifs d’aides, comme Ma Prime Rénov’, l’Etat encourage les particuliers à se tourner vers des énergies renouvelables pour rénover leurs biens.
Certains font le choix d’installer des panneaux solaires pour faire des économies d’énergie et produire une partie de leur électricité.
Pour être durable, un logement doit également être construit à partir de matériaux sobres et écologiques, peu émetteurs de GES (gaz à effets de serre) et respectueux de la biodiversité.
Un logement « vert » doit aussi pouvoir traverser les années et résister aux aléas climatiques.
A travers cette approche globale et multi-critères, un logement durable doit finalement préserver la qualité de vie, la sécurité et le bien-être de ses occupants dans le temps tout en limitant son impact sur l’environnement
Comments