L’histoire d’A68 a commencé en 2017 lorsque ce bout de banquise s’est décroché de l’Antarctique.
Une faille nommée Larsen C en a été la cause, ce qui avait provoqué à l’époque, l’émoi du monde scientifique.
Une nouvelle preuve du réchauffement de la planète. Puis comme tous les icebergs, il avait commencé à dériver : un bloc de glace d’une surface de 5 800 km2.
Mais la dérive a conduit très rapidement l’iceberg à se retrouver dans des eaux plus chaudes, et donc à se fissurer. Un phénomène naturel qui a commencé dès la première semaine de dérive, et qui s’est poursuivi durant près de 4 ans. Il ne reste plus rien d'A68.
Faut-il encore des preuves du réchauffement climatique ?
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