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2035, la fin annoncée !


Si vous n’aviez pas encore prévu d’acheter un véhicule électrique, à partir de 2035, vous n’aurez plus le choix en cas d’acquisition d’une voiture neuve : celle-ci ne pourra plus posséder un moteur thermique.


Après plusieurs mois de débats, les euro-députés ont adopté une mesure signant la fin des véhicules à moteur thermique (essence, diesel, hybride ou hybride rechargeable).


A partir de cette date et hors marché d’occasion, seuls les véhicules qui n’émettent pas de CO2 à l’usage pourront être mis en circulation : ce sont principalement les véhicules 100 % électriques, et aussi les véhicules à hydrogène.


Il est toutefois à noter que ce vote ne signe pas, à proprement parler, la fin effective des voitures à moteur thermique dès 2035. En effet, les particuliers ne seront pas contraints, à cette date, de laisser au garage leur véhicule non électrique. De même, ce vote ne concerne pas le marché de l’occasion. Il est donc fort probable que les voitures thermiques continuent de circuler sur nos routes au moins jusqu’en 2050.


D’ici la, les automobilistes peuvent donc espérer avoir résolus, du moins en grande partie, les principaux problèmes liés aux véhicules électriques :



  • Les voitures électriques sont actuellement vendues plus chères que les voitures thermiques. L’on peut toutefois s’attendre, dans les années à venir à une démocratisation de ce type de modèle, bien qu’avec la guerre en Ukraine et la crise des semi-conducteurs, la hausse des prix des matières premières servant à leur fabrication ait un impact sur leur prix.

  • L’autonomie actuelle des batteries des voitures électriques, pour l’heure limitée à environ 500 km. Une autonomie donc bien éloignée de celle offerte par les véhicules thermiques, mais les constructeurs concentrent leurs efforts sur cette problématique.

  • Accélérer le déploiement des bornes de recharge. Au 31 mars, le territoire comptait 57 732 points de recharge ouverts au public, alors que l’objectif initial était de 100 000 bornes accessibles fin 2020. Certains géants de l’automobile, anticipant les difficultés, commencent à installer des panneaux solaires sur leurs nouvelles voitures électriques, promettant un peu d’autonomie supplémentaire.

  • La composition des batteries : les véhicules électriques sont-ils vraiment moins polluants que les voitures thermiques ?


Pour les personnes roulant en véhicule polluant, il va devenir de plus en plus compliqué de circuler n’importe où, car de plus en plus de zones à faibles émissions (ZFE) vont leur être interdites.


Ce sera valable pour tous les diesels (vignette Crit’Air 2 comprises à Paris dès 2024, à Lyon en 2026, et à Strasbourg en 2028.

Au total, près de 45 agglomérations devront avoir mis en place une ZFE-m d’ici le 31 décembre 2024.

Par ailleurs, dès l’année prochaine, les véhicules avec des vignettes Crit’Air 3 ne seront plus autorisés dans la ZFE du Grand Paris.


Bruxelles prévoit ainsi une réduction de 55% des missions de CO2 sur le continent d’ici 2030.


Une décision historique pour l’avenir de la planète ! Cela va permettre d’éliminer la pollution en ville et réduire fortement les émissions de gaz à effet de serre.


Aujourd’hui, 30 % des GES proviennent de l’automobile.





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